Joyeux Noel.

Jeux d'enfants.

«- Je vais te présenter ma fiancé, elle s'appelle Christelle ! Joli non ?
- Non.
- Et elle porte la même robe que toi y'a 4 ans, tu te souviens, c'est ce jour-là que tu m'as
dit que je serais jamais cap de te faire du mal. Comme ça on est quittes. »

La vérité c'est que, parfois tu me manque tellement que j'ai l'impression de crever tant ça fait mal.

Je vous ai déjà dit que j'étais bizarre ? Non ? Maintenant, c'est fait. Et je risque de vous le répéter souvent. Non, franchement, qu'est-ce qui tourne pas rond dans ma tête ?! Je fais que penser à lui. Et ça m'énerve ; oui, ca m'énerve ! J'en viens même à espérer qu'il soit là quand j'vais pas bien. Pathétique.

these violent delights have violent ends

It's friday, I'm in love.
& this definitely sucks.

Here comes the sun

A chaque début de vacances, c'est la même routine qui s'installe : réveil entre 12h et 14h, petit-déjeuner (qui, accessoirement, fait aussi office de déjeuner), douche & habillage, puis sortie jusqu'à 18h. Ensuite, retour à la maison, glandage sur l'ordi/TV, dîner, puis, soit je fais ma geek sur MSN jusqu'à minuit, soit je sors. Que demander de plus ? Il en faut peu pour être heureux, haha. Bon, je dois avouer que mon cylce d'hibernage de minuit jusqu'en début d'après-midi ne plaît pas à tout le monde (genre, à mes parents) mais osef, on est en vacances !

Bref, tout ça pour dire que, personnellement, j'en profite un max, & j'espère que vous aussi ! :)
(ouioui, je sais, il est 11h30, et normalement je devrais être en train de dormir. Merci la femme de ménage.)

As long as I'm living, I'll be waiting. As long as I'm breathing, I'll be there.

Il est 23H32, et j’ai subitement envie d’écrire. Je ne sais pas quoi, je ne sais pas pourquoi, mais je sais que j’en ai envie. Je suis quelque peu déprimée, ces temps-ci. Sur les nerfs, aussi. Mais est-ce de ma faute si les gens en couple m’énervent, en ce moment ? Si je dois en croire Jeune & Jolie – bonjour la référence, je sais ! -, tout cela est dû à la déprime saisonnière. Hum, oui, c'est cela ouiiiii. Disons plutôt que c'est le manque affectif qui se fait ressentir. En même temps, à force de voir tous ces gens qui s'embrassent à longueur de journée, ca devient un peu déprimant. Surtout quand, cf. Facebook, "tous tes amis sont en couple sauf... TOI !" (haha, merci FB de me le rappeler).
Enfin, de toute façon, je n'ai jamais su, je ne sais jamais, et je ne saurais jamais ce que je veux. Et encore moins en ce moment. Qu'est ce que je ressens envers lui, au juste ? Je ne sais même pas. A certains moments il me manque, a d'autres, non. Mais je me surprends à beaucoup penser à lui en ce moment. J'aime ses fossettes lorsqu'il sourit, j'aime la manie qu'il a de toujours toucher a ses cheveux, j'aime son rire, j'aime son air concentré et plongé dans ses réflexions, j'aime quand il me regarde. Et, je dois l'avouer, j'ai peur.
Peur de m'attacher à lui, peur de l'aimer. Peur de ne plus contrôler la situation, je crois. D'ailleurs, en ce moment, je sens que le contrôle m'échappe. Avant, je ne faisais pas plus attention à lui que ça. Et pourtant, maintenant, je me surprend à le chercher du regard. Ou alors, à être déstabilisée lorsqu'il me regarde. Et le pire dans tout ça, c'est que je crois que j'aime ça.
(Sinon, pour toutes celles qui ont vu le film The Holiday, vous vous souvenez de la chanson sur laquelle Cameron Diaz se prend pour une bête de rockeuse, en la chantant avec la musique à fond ? Eh bien, c'est celle-là. Et si vous le saviez déjà, je suis vraiment une inculte alors, étant donné que je viens de la retrouver.)

Et aussi, cette musique est magnifique.

Parce que les vacances, quand même, c'est top

 (c) Deviantart allendoesphotos

...surtout pour geeker toute la journée. Non pas que j'aie traîné sur l'ordi toute l'après-midi - quoique... - ; non, j'ai surtout traîné tout court. Après un réveil à 13H20 (qui dit mieux ?) alors que je n'avais rien fait de particulier la veille, à part me coucher aux alentours de minuit, et une matinée passée dans mon lit, je dois dire que je n'avais qu'une envie : y rester. Dans mon lit, je veux dire. Pourtant, je ne suis pas une de ces personnes solitaires/associales/ou autre, je suis plutôt du genre à bouger les autres pour sortir. Mais aujourd'hui, allez savoir pourquoi, je n'avais vraiment pas envie de sortir chez moi. Résultat : après avoir prévenu les autres de ma non-présence cette après-midi, je me suis levée tranquillement de mon lit, ai enfilé un pyjama, et je suis descendue dans la cuisine, mon ordinateur sous le bras. Si je ne peux pas prétendre avoir fait grand chose de ma journée, je peux au moins vous dire que j'ai fait une chose : des crêpes. Eh oui ! Allez savoir pourquoi², mais j'étais tranquillement installée sur une chaise, quand j'ai tout à coup eu une envie de... cuisiner. Haha. Et j'ai donc passé ma journée à faire de la cuisine.

Et me voilà, à 20H21, en train de manger mes crêpes, tandis que, un étage plus bas, j'entends ma soeur et ses copains crier à s'en déchirer les tympans. Je risque pas d'aller dormir tout de suite.